mardi 29 mars 2011

Elizabeth Peters, The Curse of the Pharaohs

Chers Amis du Potager,

Où l'on retrouve Amelia Peabody et Emerson, mariés, parents d'un petit Ramsès (surdoué affublé de difficultés d'élocution et du caractère placide de ses parents... Ahem...), s'ennuyant en Angleterre.

Jusqu'au jour où débarque la minaudante Lady Baskerville (avec un tel nom...), récente veuve de Lord Baskerville, lequel est malencontreusement décédé d'une petite blessure à la main faite en ouvrant le tombeau d'un pharaon. Sur le modèle malédiction de Toutankhamon, son assistant disparaît, les accidents s'abattent sur l'expédition telles les grenouilles sur Yul Brunner dans les 10 commandements. D'où la Lady aux abois qui se précipite sur son cher Radcliffe en papillonnant à qui mieux mieux pour qu'il prenne la suite du défunt Lord dans l'expédition. A la plus grande joie d'Amelia (re-ahem...).

Inutile de dire que notre couple d'aventuriers va sauter sur l'occasion de retourner en Egypte (la perspective de clouer le bec à Lady Baskerville ayant une part dans la motivation d'Amelia). Outre les fouilles, ils seront confrontés à un tas d'énigmes : la mort de Lord Baskerville est-elle naturelle? Où a donc pu disparaître son assistant Alan Armadale? Qui est la mystérieuse dame en blanc qui hante le campement?

On retrouve bien entendu l'humour propre à Amelia, son énergie, dans une ambiance très proche de Meurtre en Mésopotamie, d'Agatha Christie. Et la scène où Emerson se livre à un spectacle de prestidigitation, assisté par une petite chatte, est tout simplement hilarante.

Une excellente référence. La série se poursuit sur les chapeaux de roue. Vivement la suite.

Miss Pumpkin

The Curse of the Pharaohs, par Elizabeth PETERS, Robinson 312 pages, environ 12 euros.

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